Nigel Farage avec Robert Ray
Nigel Farage fait face à un nouvel embarras après avoir posé avec un membre de l'UKIP qui est un ancien responsable du Front national.
Notre photo exclusive du leader de l'UKIP avec le conseiller d'Essex, Robert Ray, a été prise 24 heures seulement avant que des allégations ne soient révélées selon lesquelles, en tant qu'écolier, M. Farage était un raciste et un fasciste.
Un enseignant de son école – le Dulwich College dans le sud de Londres – a également affirmé que M. Farage faisait partie des élèves qui ont défilé tard dans la nuit dans un village tranquille du Sussex en criant des chansons de la jeunesse hitlérienne. M. Farage nie les accusations.
M. Farage a pris la route de la campagne avec M. Ray, ancien organisateur de la NF pour Newham, dans l'est de Londres – malgré les règles de l'UKIP disant: L'adhésion n'est pas disponible pour quiconque est ou a déjà été membre de la NF.
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M. Ray a affirmé que M. Farage savait qu'il était un ancien membre de la NF lorsqu'ils sont allés faire du démarchage à Grays, Essex, mercredi dernier. Ils cherchaient à séduire les électeurs à l'approche de l'élection partielle du Conseil Thurrock du mois prochain.
M. Ray a déclaré qu'il s'était qualifié pour devenir membre de l'UKIP parce qu'il avait quitté le NF il y a des décennies.
Lorsqu'on lui a demandé si le NF était raciste dans les années 1970, M. Ray a répondu : je suis parti parce que je croyais que ça commençait à devenir ainsi.
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Matthew Collins, de Hope Not Hate, a déclaré : Nigel Farage devrait aborder ce qui attire d'anciens membres du NF dans son parti.
Un porte-parole de l'UKIP a déclaré que M. Ray avait rejoint le parti avant que l'interdiction des anciens membres du NF ne soit introduite il y a deux ans. Il a déclaré que la justice naturelle signifiait que cela ne devrait pas conduire à l'expulsion des membres qui se sont inscrits avant 2011.
Vendredi, lors de la conférence du parti, M. Farage a déclaré que la question de l'immigration en provenance des nouveaux pays de l'UE dominerait l'agenda politique en 2014.
Il a déclaré : Si la coalition veut sauver sa peau électorale, elle doit, avant le 1er janvier, dire à Bruxelles que nous n'ouvrirons pas inconditionnellement notre porte à la Bulgarie et à la Roumanie.
